Nissarda un giou Nissarda tougiou
Nissarda un giou Nissarda tougiou
Nissarda un giou Nissarda tougiou
Passer la souris sur l'image pour avoir les informations sur les oeuvres
"La belle regina"
Gouache
200 €
« Catarina Segurana Erouina »
Gouache sur papier 50 X 65
200 €
« Frema libra »
Huile sur toile 50 X 60
500 €
« Peignoir de Nice »
Gouache sur papier 29,7 X 42
100 €
« Nissarda »
Gouache sur papier 29,7 X 42
Indisponible
« CATARINA SEGURANA BUGADIERA »
Indisponible
Centre du Patrimoine Ville de Nice
Connaissez-vous ma véritable histoire ?
Beaucoup de fadas disent que je ne suis qu’une légende, ils doivent avoir du mal à gober qu’une femme soit bonne à autre chose qu’aux enfants et au ménage, surtout une fille du peuple. Fille d’un pauvre pêcheur née à Nice en 1510, j’ai dû bien vite apprendre à survivre et depuis mes 14 ans je fais la bugadiera sur les rives de mon tortueux paillon dont je trouble les eaux de savon. Même pas le temps de rencontrer un galant, sous le soleil de plomb ou la pluie battante, je lave le linge des riches, et je frappe, je frappe avec ma massola sur les draps pour qu’ils viennent bien blancs. Alors mes bras ils sont devenus aussi gros que vos cuisses et durs comme du fer, à Nice on ne trouve pas une bugadiera plus acharnée que moi.
« Pica pica embé la massola »
Indisponible
Centre du Patrimoine Ville de Nice
Arrive ce jour de la fête de la Sainte Vierge, le 15 août 1543. Nice est assiégée par les troupes de Barberousse le plus terrible des pirates, avec qui le roi de France a fait alliance pour pouvoir conquérir notre bonne ville.
La ville est à feu et à sang, pillée, meurtrie par les janissaires. Moi, je ne peux pas rester à la maison, je veux aider, je suis sur le rempart Sincaire et là je vois un soldat turc, moustachu, tout enturbanné, un de ceux qui font si peur à mes copines bugadiere - moi je les crains moins que mon coléreux Paillon – s’apprêtant à planter son drapeau sur le rempart.
Mon sang ne fait qu’un tour, je brandis ma massola et je lui en assène un coup violent sur la tête lui fracassant le crâne , je lui arrache alors son drapeau, et je le déchire.
« Catarina erouina dei bastioun »
Indisponible
Centre du Patrimoine Ville de Nice
J'entends monter de partout des cris de liesse. Incroyable, de colère, j’ai pulvérisé ce porte drapeau avec une simple massola. Non je n’ai pas montré mes fesses comme certaines langues de vipères se plaisent à le raconter pour me décrédibiliser. Comme galvanisé tout le quartier résiste, de la porte Pairolière à la tour Sincaire, en passant par … est en ébullition, d’autres bugadiera à ma suite s’en prennent à des soldats avec leur massola, telles des tigresses, elles se jettent à plusieurs sur de turcs, les font tomber à terre, leur volent qui leurs armes, qui leurs bannières, des hommes accourus de toutes parts, armés avec les moyens du bord font fuir les assaillants.
C’est un peu la débandade chez les assiégeants, le quartier respire mieux même si les galères de Barberousse sont toujours au port.
« « L’as pagat lou capeu » ? ou vergougna a Barberousse »
Indisponible
Centre du Patrimoine Ville de Nice
Depuis le 15 août je ne suis pas rentrée chez moi, on résiste de manière acharnée à l’assaillant et quand les troupes du Duc de Savoie viennent libérer la ville, on festoie tous ensemble au départ précipité de l'armée franco-turque. Ceux qui avaient pris parti pour les Français seront bien punis, les vaincus d’aujourd’hui sont les vainqueurs de demain. C’est ainsi que depuis à la veillée à Nice, il se raconte que toute seule j’ai mis en déroute toute une armée, moi, catarina, simple bugadiera. Qui sait peut-être même que de cette déconfiture de Barberousse au couvre-chef si impressionnant est née l’expression moqueuse « l’as pagat lou capeu ? »
« NISSA ES PAIOUN PAIOUN ES NISSA »
Indisponible
Centre du Patrimoine Ville de Nice
I « Chieu-chieu ! qu travaia viéu »
II Paillon sacré Sacré Paillon
III Espaventable babau
IV Sieu « Shiva » sieu
« LE PLUS NICOIS DES SAVOIE »
Indisponible
Centre du Patrimoine Ville de Nice
Je m’appelle Emmanuel Philibert je suis un duc de Savoie et j’ai été appelé à porter la couronne à partir de 8 ans. Heureusement j’avais les idées claires et un grand courage qui m’a permis de reconquérir les territoires du Duché de Savoie dont Turin. Sagement, je me suis mariée à Marguerite de France, j’ai fait construire une défense solide et j’ai ainsi évité à ma bonne ville de Nice d’être à nouveau assiégée.
I L’enfan rei ai 100 uès
II "Spoliatis arma supersunt"
III La défensa de Nissa
IV La pouorta de Turin
Je ne suis pas étranger au fait qu’entre Nice et les Savoie, a été tissée une belle histoire d’amour au fil des siècles. La Route Royale, va s’appeler la rue Victor, c’est l’avenue de la République actuelle et sera ornée à partir de 1786 d’une porte monumentale, de style très baroque placée au niveau de la rue Barla actuelle, une œuvre de l’architecte Pietro Bonvicini.
« Détail Kamishibai Ville de NICE »
Button« Détail Kamishibai Ville de Nice »
Button« PEPIN ENFAN DE NISSA »
Indisponible
Centre du Patrimoine Ville de Nice
I. PEPIN ENFAN DE NISSA
II. EROI DEI DOUI MOUNDE
III. LU 1000
IV. CAPRERA
« Caterina bugadiera »
Acrylique sur carton A3
Sur demande
« Regina de mai »
Gouache 57 X 77
200 €
« Paure Pepin »
Encre
Indisponible
« Fremen »
Huile sur toile 55 X 46
500 €
« Santa capelina »
Huile sur toile 50 X 60
500 €
« Bikinissa »
Gouache sur papier 29,7 X 42
100 €
5 juillet
Fête du bikini créé en 1946 par Louis Reard pour notre plus grand bonheur.
Je l'ai adapté à la sauce des niçoises qui ont troqué leur capeline pour ce
petit bout de tissu.
« Delphinissa »
Gouache sur papier 29,7 X 42
100 €
« Plagiste »
Gouache sur papier 29,7 X 42
100 €
« Fenêtre de Peillon »
Gouache sur papier A3
Indisponible
« Peignoir nissart »
Gouache sur papier A3
Indisponible
« Pareo Nissa »
Gouache sur papier 29,7 X 42
100 €
« Vahinissa »
Gouache sur papier 29,7 X 42
100 €
« Souleu »
Dessin 60 X 42
Indisponible
« Pantaï »
Gouache sur papier 33 X 48
150 €
« Frema Vida Liberta »
Gouache sur papier 33 X 48 - 150 €
7 mois que Mahsa Amini, 22 ans, est morte rouée de coups par la police des mœurs iranienne parce que son voile laissait apparaître une mèche de cheveux.
7 mois que même sous la neige, Iraniennes sans voiles et Iraniens réclament la liberté en scandant « Jin, Jiyan, Azadî », risquant leur peau.
Après des simulacres de procès, des aveux arrachés sous la torture, beaucoup de manifestants ont été exécutés pour leur participation au mouvement de contestation et une centaine d'autres manifestants risquent de subir le même sort, être exécutés et pendus à une grue en public, de nombreux mineurs croupissent en détention.
Dans tout le pays, des écolières, des collégiennes et des lycéennes ont été empoisonnées à l'aide de produits chimiques toxiques, pour les empêcher de fréquenter l’école.
Plus que jamais notre soutien aux manifestants pour la liberté en Iran est important, ce ne sont pas nos champions de la liberté Catarina et Pepin qui pourront dire le contraire.
« Frema vida liberta »
Gouache sur papier 50 × 65
200 €
Les femmes niçoises soutiennent les Iraniennes.
« Palmiers »
Gouache 33 X 48
120 €
« Il m'appelle sa petite niçoise »
Dessin 30 X40
150 €
« Ciamada »
Dessin 29,7 X 42
100 €
Une oeuvre vous intéresse ?
Contactez-moi
Nous reviendrons vers vous dès que possible.
Veuillez réessayer plus tard
Edith Faraut
Tous droits réservés | Edith Faraut