Edith Faraut
Niçoise de racines et de cœur, avocate au barreau de Nice
depuis 30 ans, j’ai mis depuis quelques années des pinceaux
au bout de ma robe pour défendre d’une autre manière.
Ce qui ne devait être au départ qu’une passion pour rejoindre par le geste un père disparu trop jeune, est vite devenu un besoin et chaque jour, je croque, je peins à la gouache, l’encre, l’aquarelle, l’huile, je découpe et je colle au gré de mes humeurs.
C’est très spontanément que les couleurs vives et les compositions naissent.
Mes pinceaux racontent des histoires, souvent des histoires de femmes quelquefois douloureuses,
avec l’intention sincère de donner de la joie, de la force et de l’espoir.
La peinture est source de résilience pour moi et quand elle réussit à faire écho chez d’autres, je suis comblée.
La pratique du modèle vivant pour certaines de mes compositions me permet de vivre des moments d’échange et de sororité.
Le regard entre modèle et peintre est un jeu de miroir, un échange constructif, un dialogue parfois.
Le modèle est sujet et participe à l’œuvre, de ces regards échangés nait une véritable complicité qui rejaillit sur la création.
Plus je peins, plus j’ai envie de peindre ; plus je peins, plus j’ai l’impression de comprendre mon père jusqu’à l’incompréhensible,
plus je peins, plus je sais que je vais peindre le reste de sa vie à lui. C’est une double renaissance.
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LEXpo : Vive les petites robes noires
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